| Qui sommes – nous ?

Voyager sur le long terme nous nous a réellement ouvert les yeux sur l’impact négatif du tourisme dans de nombreux endroits. Avec le temps, nous avons réalisé que la nature est ce que la planète a de plus beau à offrir. Nous avons été dévastés de constater que celle-ci est mise en péril par le tourisme partout où des règles n’ont pas été mises en place. Par exemple, constater le niveau de destruction des coraux en Thaïlande ou en Colombie nous a choqué. Pour ne pas en rajouter et encourager les initiatives durables, notre objectif est toujours de réaliser des expériences éthiques, avec un impact limité sur l’environnement et qui peuvent profiter aux locaux. Ce n’est pas toujours facile et souvent plus cher mais ça nous tient à cœur ! class= »article_description_noir »>Nous sommes particulièrement attirés par les visites de sites naturels et les activités qui nous permettront d’observer la faune à l’état sauvage, sans la déranger pour autant. Grands fans de randonnées en pleine nature, on se limite pourtant à des randonnées non extrêmes et accessibles à tous en raison de nos soucis de santé respectifs ! L’Everest, non merci.

On savait que le bilan carbone d’un voyage long terme contenant des destinations éloignées les unes des autres serait forcément élevé mais pendant notre tour du monde, nous avons aussi essayé de limiter les avions et avons passé 5 frontières terrestres. Pour nos séjours en Europe, on privilégie le train ou les roadtrips à l’avion.

Le voyage longue durée nous a aussi permis de réaliser que les bucketlists longues comme le bras c’est bien, mais limitant ! Aujourd’hui, on visite les attractions touristiques principales uniquement si on sait que ça peut se faire dans de bonnes conditions et sans la foule… Sinon, on cherche des alternatives plus tranquilles (un exemple ? La baie d’Ha Long polluée et remplie de bateaux de croisières, très peu pour nous. Mais on a découvert la baie voisine, tout aussi belle, dans des conditions incroyables !). Ca nous a permis de découvrir des pépites cachées dans des pays pourtant très visités !

Enfin, on se considère comme des voyageurs simples sans être minimalistes : on choisit des logements basiques mais disposant d’un minimum de confort (les dortoirs et les salles de bain communes crades, c’est non). On préfère manger dans des petits restaurants locaux mais on aime craquer sur une pizza ou un pain au chocolat… La plupart du temps, l’argent qu’on ne dépense pas sur des villas de luxe ou des restaurants gastronomiques, on le consacre aux activités ! La dernière chose qu’on voudrait, c’est quitter un endroit avec des regrets. D’ailleurs, on préfère dépenser plus pour des activités éthiques ou découvrir des endroits en autonomie plutôt que de passer par des agences qui ne rémunèrent pas assez les locaux ou qui envoient des milliers de touristes chaque jour sur des sites déjà fragilisés.