Que faire à El Nido ? Découvrez les différentes options de island hopping et les plages de la ville la plus touristique de l'île de Palawan.
Malgré quelques péripéties auxquelles on a dû faire face, on a passé un séjour incroyable aux Philippines !
C’est un vrai plaisir de découvrir ce pays, ses locaux accueillants et sa variété de paysages, entre plages paradisiaques, eaux turquoises et coins perdus dans la jungle tropicale. On vous expose ici notre itinéraire et nos astuces pour passer 3 semaines de rêve aux Philippines. Mais on vous dit aussi ce qu’on aurait changé si on devait refaire ce voyage !
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Pour rejoindre un archipel de plus de 7.000 îles au milieu de l’océan, il n’y a malheureusement pas beaucoup d’autres options que l’avion.
En revanche, selon votre itinéraire, vous pouvez décider d’atterrir à Manille (si vous commencez par l’île de Palawan) ou plutôt à Cebu (si vous commencez par les Visayas).
Dans notre cas : on a décidé d’atterrir à Manille car il y avait de grosses promotions sur les vols à destination de la capitale des Philippines. puis de prendre directement un vol vers El Nido (Palawan), à 1h de la capitale. En faisant ça, on était dans le sens inverse de la plupart des voyageurs, qui terminent leur voyage aux Philippines par El Nido et Coron.
Nous sommes partis avec nos sacs à dos, en novembre (fin de saison de pluie, donc encore peu de touristes). Les seules choses que nous avons réservé avant de partir sont le vol aller/retour Lyon – Manille, le premier hôtel pour une nuit à Manille, le vol Manille – El Nido et notre logement pour 2 nuits à El Nido.
Pour le reste, on réservait les excursions la veille ou le jour même, et les logements un ou deux jours à l’avance (la seule fois où nous ne l’avons pas fait, il ne restait quasiment rien le jour de notre arrivée).
On est donc parti en mode backpacker et en improvisation totale, ce qui nous a permis d’être libres et de nous adapter à certaines situations (rester plus longtemps à certains endroits qui nous plaisent pour se reposer par exemple). Ce n’est pas forcément possible en pleine saison (de décembre à mars). Pendant cette période très prisée des touristes, il peut être intéressant de réserver ses logements un peu en avance si vous avez des attentes spécifiques et également les vols internes, qui ont constitué une grosse partie de notre budget. En même temps, on a fait des erreurs de réservation, et les changements nous ont coûté cher… Vous ne devriez pas avoir le même problème !
Honnêtement, ce voyage aux Philippines est un des voyages où nous avons passé le plus de temps dans les transports. A chaque fois que vous voulez changer d’endroit (et encore plus quand vous changez d’île), il faut compter une demi-journée ou une journée complète, selon la distance. En effet, pour atteindre chaque nouvelle île, il faudra prendre l’avion et/ou le ferry puis au moins un tuk-tuk, tricycle ou scooter (pas très rapide) jusqu’à votre logement. Il y a très peu de voitures aux Philippines en dehors des grandes villes, où la circulation est d’ailleurs catastrophique.
Moralité : si vous n’aviez pas prévu de jours pour les transferts, revoyez votre plan. Vous ne pourrez probablement pas faire autant de lieux que vous le souhaitez à l’origine, à moins d’être prêts à courir de partout sans vous laisser de temps de repos et de passer peu de temps à chaque endroit.
Par exemple, on voulait à l’origine visiter Coron, El Nido, Port Barton, Puerto Princesa, Bohol, Siquijor et Batad en 21 jours, ce qui nous permettait de passer environ 3 jours à chaque endroit. On a finalement dû renoncer à Batad et Coron faute de temps. Et ma blessure au pied nous a de toute façon forcé à ralentir le rythme… Ca nous donnera une bonne excuse pour revenir !
Nous sommes partis de Lyon à 8h, pour prendre un train à la gare Part-Dieu jusqu’à Genève. Après un transfert de la gare à l’aéroport de Genève, on a pris l’avion à 15h pour 5 heures de vol jusqu’à l’aéroport de Jeddah, en Arabie Saoudite. 8h d’escale plus tard, on a décollé à nouveau pour 8h de vol jusqu’à Manille.
36h de trajet intenses ! On est arrivé à Manille assez tard avec le décalage horaire de +7h (vers 21h), on avait donc prévu notre réservation d’un hôtel proche de l’aéroport pour dormir un peu avant de repartir.
On a fait le choix de la facilité en retirant une première somme de 5.000php dans un ATM à l’aéroport (en refusant la conversion). Ca nous a permis d’acheter tout de suite une carte SIM Globe pour deux, qui nous a coûté 1.500php pour 100Go d’internet, valable 30 jours. Des stands des deux principaux opérateurs téléphoniques, Smart et Globe, vous attendent dans le hall de de l’aéroport, près à vous alpaguer ! On aurait pu trouver moins cher dans une supérette en ville, mais je vous avoue que la fatigue nous avait déjà rattrapé et on avait besoin d’internet pour indiquer l’adresse de notre petit hôtel au taxi que nous avons pris de suite.
Le taxi nous a d’ailleurs bien roulé… On a réservé un taxi au mètre juste devant le terminal mais notre chauffeur a démarré sans avoir mis le compteur à zéro et a fait semblant de ne pas comprendre l’adresse jusqu’à ce qu’on lui colle notre GPS sous le nez. Si vous voulez éviter ça, téléchargez l’application Grab, le Uber des Philippines ! La course sera probablement deux fois moins chère jusqu’à votre hôtel.
Notre logement : Inn da Avenida.
Une chambre pas chère, sobre mais propre, avec salle de bain privée (pas d’eau chaude). Située à 10 minutes en taxi des aéroports international et domestique. Attention à l’entrée qui est un peu cachée sur le côté du bâtiment.
On a passé assez peu de temps à El Nido par rapport au reste de l’île. Mais on a été émerveillé par la beauté de l’archipel des Bacuits (ensemble de petites îles), même s’il a tendance à être pris d’assaut par les touristes.
On a profité d’être à El Nido pour découvrir le island hopping, activité phare des Philippines. Ça nous a permis d’explorer des plages magnifiques et des récifs colorés, et de faire du kayak dans des lagons turquoises. Une expérience à vivre.
On vous explique tout sur le island hopping, les différents tours et les meilleures conditions dans lesquels le faire sur notre article dédié à El Nido.
Vous y trouverez aussi nos recommandations sur les plages à voir et les autres activités disponibles.
Après nos deux jours ici, on a mis les voiles en direction de destinations moins touristiques et plus éthiques sur l’île de Palawan !
On est descendus vers le Sud avec un minibus réservé sur 12go la veille, en direction de Port Barton.
Quel changement, dès l’arrivée ! Au terminal de bus (si on peut appeler ça un terminal, avec deux minibus maximum), on a fait la queue quelques minutes pour s’enregistrer au “bureau des arrivées” : une simple table avec un registre à signer où on doit indiquer le nom de son hébergement. Rien à voir avec le chaos de la gare routière d’El Nido, où on avait galéré à retrouver notre van.
On est restés ici 4 jours, le temps que mon pied guérisse d’un choc malencontreux avec le corail qui a eu lieu pendant notre island hopping à El Nido.
Ce petit village de pêcheurs est en train de développer peu à peu le tourisme. Il est pour l’instant dans une phase “idéale” pour le visiter : les infrastructures touristiques existent mais elles sont moins nombreuses, ce qui permet de retrouver l’authenticité de la vie philippine tout en proposant de chouettes activités. Un island hopping négociable et personnalisable, des plages de rêve bien moins bondées et des petites cantines pas chères… on a tout ce qu’il faut pour apprécier la vie paisible de ce petit coin de paradis !
On vous a concocté un petit guide spécial sur Port Barton, avec toutes nos bonnes adresses et les activités à y faire. On vous laisse y jeter un œil !
On a ensuite de nouveau pris un van, négocié directement au terminal de bus de Port Barton, en direction de l’autre côté de Palawan : la ville de Puerto Princesa. On est parti vers 13h et on est arrivé vers 17h, déposés devant notre hôtel.
Sur les conseils d’une personne rencontrée à Port Barton, on a réservé un hôtel plutôt haut-de-gamme dans la ville, pour un prix très peu élevé : le Dolce Vita (35€/nuit).
Puerto Princesa n’est pas une étape courante dans les itinéraires de backpackers. On l’a ajoutée pour une raison bien précise : découvrir une 7 nouvelles merveilles naturelles du monde, la rivière souterraine de Puerto Princesa.
On n’avait qu’un jour complet dans la ville et on ne s’était pas beaucoup renseigné en amont alors on a réservé cette excursion via notre hôtel, même si elle est faisable par vous-même. On a donc payé 2.500php (soit environ 41€) par personne, ce qui représente un gros coût mais nous assurait la tranquillité.
Voilà ce qui est inclus à ce prix :
Pour nous la rivière souterraine est vraiment à voir ! Ce n’est pas pour rien qu’elle a été catégorisée comme une des nouvelles merveilles naturelles du monde… En revanche, on se serait bien passé de tous les “à-côtés” obligatoires en réservant l’excursion complète.
Si vous voulez économiser et éviter la foule de touristes qui va avec ce genre d’excursions, vous pouvez organiser cette visite par vous-même !
Il faudra louer un scooter à la journée, ne pas avoir peur de rouler au milieu d’un trafic dense en ville et faire une sacrée queue pour acheter vos billets d’entrée, mais c’est deux fois moins cher et vous n’aurez pas à subir tous les arrêts “spécial touriste” (vente de smoothies, parc d’aventure…).
On a décidé de mettre à profit notre seule journée à Puerto Princesa pour faire une autre excursion dont on avait pas mal entendu parler aux Philippines : une croisière d’observation des lucioles, qui s’effectue de nuit depuis le port.
On a aussi réservé ça via notre hôtel, qui la proposait au tarif de 1500php/pers, soit environ 24€/personne avec dîner inclus.
Malheureusement, comme c’est une sortie en pleine nuit et que notre téléphone n’est pas très adapté à la faible luminosité, on n’a pas beaucoup de photos de cette sortie. Mais on l’a trouvé tout simplement magique ! On a eu la chance de pouvoir aussi profiter du plancton bioluminescent, un phénomène assez rare à cette période.
Si vous avez l’opportunité de faire cette excursion, à Puerto Princesa ou à Lombok (Bohol), on vous la recommande grandement ! Ça a été un super moment de partage dans une ambiance magique, avec un guide plein d’humour, des arbres illuminés et un très bon repas sur la bateau, en petits groupes.
Nous sommes repartis de Puerto Princesa très tôt le lendemain parce qu’un avion nous attendait pour partir en direction des Visayas !
Voilà bien une des journées les plus interminables de notre séjour aux Philippines ! Quand on vous disait que les changements d’îles pouvaient être fastidieux…
Notre objectif était de partir de Puerto Princesa pour nous rendre au centre de Bohol, où nous avions réservé un logement un peu perdu au milieu des rizières.
Voilà un petit déroulé en détails de notre trajet :
Le trajet en avion était court (environ 1h30) mais il ne faut pas oublier de compter les différentes obligations à l’aéroport (check-in, passage de sécurité et récupération des bagages principalement) qui prennent beaucoup de temps.
Le trajet en taxi nous a pris une heure dans une circulation très dense à Cebu (ce qui a mis en rogne notre conducteur).
Le trajet en ferry prend environ une heure aussi et il a souvent du retard sur l’horaire du départ.
Le tricycle a été un trajet éprouvant (surtout pour Vincent, qui était plié en deux car assis sur la selle du conducteur avec le toit beaucoup trop bas pour lui) qui a duré 1h30.
On est donc arrivés en début de soirée pour un départ à 6h du matin. Heureusement, l’endroit qui nous attendait était un havre de paix avec une hôte aux petits soins !
Le cœur de Bohol est un de nos coups de cœur absolu aux Philippines, bien loin des plages de sable fin et du fourmillement de Panglao au Sud de l’île, mais tout aussi incroyable !
On s’y est senti bien, on a été accueillis comme des rois et ça a été une véritable parenthèse de verdure et de calme très appréciée… malgré les trombes d’eau qu’on a eu pendant nos 2 jours sur place.
Authenticité, rizières en étage, cascades à gogo, paysages de jungle et de collines, voilà ce qui vous attend si vous vous aventurez au centre de l’île de Bohol.
On vous propose de lire notre guide complet dédié au cœur de Bohol pour en savoir plus !
On a quitté à regret Bohol pour retourner en tricycle jusqu’à Tagbilaran et réserver directement au comptoir Oceanjet un ferry en direction d’une des îles les plus mystiques des Philippines : Siquijor !
Connue comme “l’île aux sorcières” à cause des rituels qui y étaient pratiqués, Siquijor nous a étonné par son ambiance paisible et par son nombre de cascades aux eaux turquoises ! On vous rassure : c’est aussi un excellent coin pour profiter de la plage et faire du snorkeling, et même pour faire quelques visites.
L’île est aussi idéale si vous êtes un débutant en scooter : il n’y a qu’une seule route très sûre qui fait tout le tour de l’île. Il n’y a plus qu’à vous arrêtez où vous voulez !
Bref, quoi que vous recherchiez aux Philippines, vous pourrez trouver votre bonheur à Siquijor. Prêts pour un petit tour ?
Ces plages sont celles qu’on a le plus apprécié, mais vous trouverez aussi Salagdoong Beach à l’Est de SIquijor (à une heure de route environ de Paliton Beach). Pour celle-ci, l’entrée et le parking sont payants car elle appartient à un resort. Mais elle permet de sauter d’une falaise de 35m de haut !
Il y a plusieurs sanctuaires marins sur l’île, facilement accessibles à marée haute (il faudra patauger longtemps dans les algues si c’est marée basse, et faire attention aux oursins !).
L’accès est payant et varie de 25 à 150 php. Vous pouvez aussi y louer masque et tuba, et même faire appel à un guide pour vous dégoter les plus gros poissons… et les plus belles tortues !
On est revenus sur Bohol pour passer nos derniers jours aux Philippines en bord de plage et pour profiter de la vie sous-marine !
Pour être honnête avec vous, on a été complètement déçus par Panglao. Contrairement au centre de Bohol, cette petite presqu’île n’a aucun charme. Tout y est bétonné et été adapté pour les touristes, y compris le island hopping qui est devenu un commerce de masse qui nuit totalement à l’environnement pourtant sublime de l’île.
On vous explique (attention : ceci reflète uniquement notre expérience : un tour organisé en groupe d’environ 20 personnes réservé à Alona Beach pour 1400 php/pers) :
On devait commencer très tôt par une observation des dauphins. Sauf qu’on s’est retrouvé à 20 bateaux qui tentaient de leur couper la route avant les autres alors qu’ils cherchaient à se nourrir. Plutôt une chasse qu’une observation selon nous… Ils devaient être terrorisés !
On part ensuite pour l’observation des tortues à Balicasag. On nous dépose sur la plage pour nous amener à un restaurant où on a la possibilité de commander à manger. Après 30 minutes un peu longues pour ceux qui ont déjà petit-déjeuner, on va prendre un autre bateau, plus petit celui-ci : on est 4 personnes par canoë, plus le guide.
On s’est à peine éloigné de la plage que le guide crie qu’il y a une tortue et qu’il faut la suivre. On saute à l’eau… avec les 20 autres touristes qui attendaient leur moment. Là encore, c’est plus une chasse qu’une observation… Les guides ne nous demandent à aucun moment de maintenir nos distances avec cette pauvre tortue qui a eu le malheur de s’approcher de l’île. Certains touristes sont à deux doigts de mettre un coup de pied à une tortue qui essaie juste de fuir et prend à peine le temps de respirer à la surface avant de nager vers le large.
Une fois “observée” cette unique tortue, le guide nous dit qu’on va revenir à la nage jusqu’au spot d’observation des poissons tropicaux. Il y a tellement de monde que tous les nageurs se rentrent dedans. Et le pire, c’est que tous les coraux ici sont complètement détruits car les guides tirent les canoës en piétinant le corail.
On arrive au dernier spot de snorkeling : 40 canoës sont rassemblés juste à la lisière du sanctuaire marin dans lequel il est officiellement interdit de pénétrer. On découvre alors qu’ils nourrissent les poissons pour les faire sortir du sanctuaire… C’est le chaos total. Après ce moment catastrophique au milieu des touristes en gilet de sauvetage, qui donnent des coups de pied dans tous les sens pour avoir les meilleures photos au milieu des bancs de poissons qui se battent pour un bout de pain, on retourne au restaurant. On doit alors attendre 1h que ceux qui avaient commandé à manger finissent leur assiette…
Puis on remonte sur le 1er bateau pour se rendre au dernier spot de cette sortie : un immense banc de sable avec un panneau où les gens font la queue pendant une heure pour se prendre en photo. Non merci !
Bref, si vous ne voulez pas participer à la destruction de l’environnement et des coraux, c’est une expérience à éviter absolument…
Si vous voulez observer poissons et tortues dans des conditions idéales à Panglao, on vous recommande plutôt French Touch Diving : c’est un budget plus élevé (2500 php/pers) mais la sortie est tellement plus qualitative ! On a pu voir une dizaine de tortues en deux heures de “randonnée palmée”, portés par le courant. Un moment incroyable !
Heureusement, les belles plages comme celle d’Alona beach, très fréquentée mais agréable, rattrapent cette expérience catastrophique de island hopping.
Les couchers de soleil depuis les plages sont tout simplement sublimes ici ; on a plus d’une fois apprécié les magnifiques couleurs du ciel depuis la plage.
Enfin, un autre spot très touristique mais original est la grotte d’Hinagdanan, dans laquelle on peut se baigner. Pour ceux qui sont familiers des cenotes mexicains, c’est exactement la même chose ! L’eau est claire mais il faut venir tôt pour en profiter sans la foule, car de nombreux tours organisés passent par ici.
Dernière étape du séjour avant de prendre l’avion du retour : la capitale, Manille !
Comme beaucoup de voyageurs, nous n’avons définitivement pas eu de coup de cœur pour Manille. C’est une ville globalement assez sale dans laquelle on ne sent pas toujours en sécurité, dont la circulation est terrible, avec un patrimoine historique très restreint. On n’a eu qu’une journée pour s’y balader et ça nous a suffit ! On a d’ailleurs rencontré des expatriés vivant à Manille qui nous ont confirmé que la ville n’avait pas beaucoup d’attraits.
Voilà quand même un petit résumé de ce qu’on a pu y faire :
Il y a tellement de choses à voir aux Philippines qu’on savait qu’on ne pourrait pas tout faire en 3 semaines. On a dû faire des choix et laisser de côté beaucoup de destinations qu’on voudrait absolument voir un jour : les lagons de Coron et les rizières en étages de Batad, mais aussi la lointaine Siargao et l’île de Leyte pour voir les requins-baleine à Padre Burgos.
Mais si c’était à refaire, il y a des endroits où on resterait un peu moins et d’autres on prendrait plus de temps : on enlèverait sûrement deux jours à Panglao pour rester plus longtemps dans le centre et le nord de Bohol, beaucoup plus authentique. On ne prendrait pas la peine de visiter Manille, ce qui nous permettrait d’économiser pour plutôt commencer notre périple par Coron, qui n’est pas loin d’El Nido.
Nous avons dépensé pendant ce séjour aux Philippines un total de 130.000 php en 21 jours. Cela représente un budget de 2166€, soit 52€/jour/personne.
C’est un budget assez élevé, au-dessus de celui qu’on s’était fixé ! La moyenne des backpackers aux Philippines pour 3 semaines fait plutôt autour de 40€/jour.
On vous explique pourquoi on a dépassé notre budget (et comment vous pouvez faire mieux que nous) :
Pour le reste, on est dans la moyenne des backpackers. Mais voilà où on aurait quand même pu faire mieux : on s’est fait plaisir sur les restaurants (on aurait pu faire plus de cantine et streetfood). On est nazes en négociation (même si on s’est amélioré sur la fin !). Et on n’est pas à l’aise en scooter, donc on a privilégié les déplacements en trycicles et tuk-tuks, qui sont plus chers.
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