En avril 2024, on a décidé de partir vivre notre rêve : on a quitté nos jobs pour voyager à temps plein pendant un an sur 3 continents.
Résumer cette aventure est un exercice difficile tant nous avons vécu de choses cette année. Rien ne pourra effacer ces moments de découverte, de partage et de lâcher prise. On a vécu une expérience hors du commun et pour rien au monde on ne reviendrait sur cette décision qui a changé nos vies.
Aujourd’hui, on vous fait le récit condensé de ce tour du monde d’un an à travers cet article itinéraire sur ce qui est probablement le plus épique de tous nos voyages !
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destinations
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étapes
Avant de partir
Notre itinéraire de tour du monde
Mexique : plage, jungle et culture maya
Guatemala : volcans et villages colorés
Costa Rica : vibe tropicale et faune exceptionnelle
Colombie : peuple vibrant et paysages variés
Pérou : entre paysages époustouflants et histoire unique
Bolivie : de la forêt amazonienne au Salar d’Uyuni
Chili : passage rapide dans le désert
Singapour : séjour court mais coûteux dans la ville du futur
Australie : roadtrip en van sur la côte Est
Thaïlande : entre plages du Sud et culture du Nord
Avant notre tour du monde, on avait pas mal de questions à se poser : Que faire de notre appartement ? Comment quitter notre travail ? Mais ces choses-là sont propres à chacun. Par exemple, j’ai quitté mon travail en rupture conventionnelle alors que Vincent a choisi de prendre un congé sabbatique.
Concernant toute la partie administrative de l’avant-départ (banque, assurance, permis, forfait de téléphone, vaccins…), on vous a fait un petit article très détaillé que vous pouvez trouver juste ici : 5 choses à faire absolument avant de partir en voyage.
Quant à décider ce qu’on allait mettre dans nos sacs à dos, on a beaucoup hésité mais notre voyage « test » aux Philippines nous a permis de mieux cerner nos besoins. On vous fait un récap complet de tout ça sur ces 2 articles :
Après presque un an et demi de préparation, d’économies, de planification… C’est enfin le jour J. On prend nos backpacks sur le dos, mi paniqués, mi surexcités et on fait nos derniers adieux à nos familles. Un an d’aventures nous attendent avec ce tour du monde et on a hâte de voir ce que l’avenir nous réserve !
Pour cette première étape de notre itinéraire de tour du monde, nous avons pris l’avion de Lyon à Cancún avec une escale à Madrid.
Si les villes côtières de la riviera maya ne nous ont pas vraiment séduit, on est tombé sous le charme de la lagune aux 7 couleurs, des cenotes et des magnifiques sites mayas du Yucatán. On a aussi eu une belle surprise avec la découverte du Chiapas entre jungle et cascades. 3 semaines bien remplies pour cette première étape de tour du monde !
On vous a concocté un petit article détaillé sur notre voyage au Mexique, que vous pouvez retrouver en cliquant ici.
Ce premier passage de frontière de notre tour du monde se fera en bus ! Une frontière terrestre qu’on avait hâte de passer, puisqu’on a décidé, lorsque c’était possible en tout cas en termes de timing et de distances, de prendre l’avion le moins possible.
On a donc réservé un transfert avec une agence pour nous amener de Palenque à Flores. On a été déposés en van à la frontière et on a validé notre sortie du Mexique, avant d’être pris en charge par un autre véhicule après notre entrée au Guatemala. Un processus qui a été relativement rapide et sans problème pour nous.
On a malheureusement subi au Guatemala notre première intoxication alimentaire, qui nous a empêché de profiter autant qu’on aurait voulu de nos 17 jours sur place… On a donc renoncé à prendre une semaine de cours d’espagnol dans un des villages colorés au bord du lac Atitlán. Mais c’est aussi le Guatemala qui nous a offert la plus belle expérience de notre tour du monde : on a pu voir un volcan en éruption à quelques centaines de mètres de distance. Un moment tout simplement magique !
Pour aller du Guatemala au Costa Rica, on a pris l’avion à Guatemala City pour atterrir à San José, avec une escale au Panama.
Le Costa Rica était probablement une des destinations qu’on attendait le plus. Amoureux de nature et surtout de faune sauvage, on a décidé de rester 28 jours à parcourir le pays pour en profiter à fond. De la côte caribéenne en bus jusqu’au Corcovado à l’Ouest en roadtrip, on a eu un gros coup de cœur pour cet endroit préservé, même si on s’est efforcé d’éviter les coins trop touristiques de la côte Pacifique. Entre jungle sauvage et plages magnifiques, le Costa Rica a su tenir ses promesses, bien qu’on ait subi la météo en y allant en saison verte !
Pour se rendre du Costa Rica jusqu’en Colombie, on a pris l’avion à San José avec un vol direct jusqu’à Bogota.
Si le pays en lui-même n’a pas déclenché chez nous le même effet « wahou » que d’autres pays grâce à ses paysages, ce sont les colombiens qui en ont fait une destination unique. Où qu’on aille, on était accueillis comme des rois par des gens qui étaient toujours heureux d’échanger avec nous… et de faire la fête. Petit bémol pour la côte Caraïbes qu’on a trouvé trouvé très touristique et peu préservée. A refaire, on irait plutôt découvrir le Chocó sur la côte Pacifique !
On a longuement hésité à passer la frontière terrestre pour se rendre en Equateur, pour 2 raisons : le site du gouvernement ne recommandait pas de fréquenter cette zone qui était alors considérée comme non sécurisée. Et nous sommes arrivés proches de la frontière pile au moment d’une grève de camionneurs qui avaient décidé de bloquer la frontière jusqu’à trouver un accord, autant dire pour une durée indéfinie.
Heureusement, les choses ont fini par se calmer et on a rencontré des touristes venus d’Equateur qui nous ont garanti qu’ils s’étaient sentis aussi en sécurité qu’ailleurs en passant cette frontière.
On a donc décidé de passer 2 nuits à Ipiales avant de prendre un colectivo jusqu’à la frontière, de traverser à pied le pont international de Rumichaca et de prendre ensuite un bus jusqu’à Otavalo. Ca a été le passage de frontière le plus simple de notre tour du monde : on ne nous a posé aucune question, on n’a pas fouillé nos sacs, il n’y avait pas de queue. On nous a rendu nos passeports en un temps record avec un grand sourire !
L’Equateur n’était à l’origine pas prévu sur notre itinéraire en raison du climat politique tendu dans le pays au moment de notre voyage. On voulait absolument se rendre aux Galapagos mais on ne pensait pas explorer la partie continentale. Aujourd’hui, notre seul regret est de n’avoir pas pu rester plus de 2 semaines parce qu’on avait réservé nos billets pour les Galapagos en avance !
On a rencontré un peuple accueillant, des paysages magnifiques avec les volcans les plus hauts du monde, des centaines d’espèces d’oiseaux et surtout un pays très calme, fui par les touristes alors qu’il regorge de pépites. C’est sûr, on reviendra pour explorer l’Amazonie et le Sud du pays !
Malheureusement, il n’y a pas d’autres choix que l’avion pour se rendre aux Galápagos. Des vols au départ de Quito et Guayaquil sont disponibles. Nous avons atterri sur l’île de San Cristobal.
Les îles Galápagos font partie de l’Equateur mais c’est un monde tellement à part qu’elles méritent qu’on leur dédie une étape. Elles ont fait partie des destinations les plus chères de notre tour du monde mais on y a passé 12 jours en profitant à fond et on n’a vraiment aucun regret. On a découvert ici une faune terrestre et maritime incroyable qu’on ne peut retrouver nul part ailleurs. On a eu la chance d’évoluer avec les lions de mer, les fous à pieds bleus et les iguanes marins au quotidien. De nager avec des requins marteaux et des raies, de voir des hippocampes géants, des flamants roses et même des pingouins. La liste est interminable et pourtant, on n’a pas fait une seule plongée. Si vous êtes passionnés de vie sauvage et que vous hésitez encore, on espère vous convaincre de prendre vos billets et de foncer.
On a pris l’avion de l’île de Santa Cruz jusqu’à Quito, puis de Quito jusqu’à Lima, la capitale péruvienne.
Le Pérou fait partie de nos coups de cœur du tour du monde et on y a passé 25 jours vraiment inoubliables. On y a vu nos premiers glaciers, battu notre record d’altitude, exploré une merveille du monde, découvert l’histoire des peuples incas et quechua, marché sur des montagnes arc-en-ciel, profité de la gastronomie incroyable (et du pisco sour), vécu chez l’habitant au milieu du plus haut lac du monde et côtoyé lamas et alpagas chaque jour. Que demander de plus ?
Ce 3e passage de frontière terrestre n’a pas été plus complexe que les précédents : on a réservé via notre hôtel à Puno un bus nous amenant directement jusqu’à Copacabana en Bolivie, de l’autre côté du Lac Titicaca. Le bus a contourné le lac, passé la frontière avec nous et a attendu que tout le monde fasse la queue pour obtenir son petit tampon sur le passeport. On y a d’ailleurs rencontré quelqu’un avec qui on a poursuivi une grande partie de notre aventure en Bolivie !
Assez pressés par le temps parce que notre avion partait du Chili le 16 septembre, on a du passer un peu vite en Bolivie alors qu’elle méritait au moins 3 semaines de découverte. Sa culture unique mais aussi ses paysages variés en font une destination unique. On est passé de 35 degrés et humidité maximale pendant la découverte de la forêt amazonienne à -15 degrés la nuit dans le désert de sel d’Uyuni à 4.000m d’altitude, en passant par la capitale la plus haute du monde, La Paz. Des aventures partagées avec des personnes incroyables qui nous laissent des souvenirs impérissables malgré les conditions parfois difficiles !
On a demandé à ce que notre excursion dans le Salar d’Uyuni et le Sud Lipez se termine au Chili, à San Pedro de Atacama. Le passage de frontière était donc inclus : notre 4×4 nous a amené jusqu’à la frontière bolivienne au milieu du désert, puis on est monté dans un bus qui nous a conduit à la frontière chilienne. Attention : le Chili a beaucoup de restrictions lors du passage de frontière : il faut remplir un formulaire (fourni) attestant que nous n’avons aucun produit interdit et les sacs sont fouillés. Tout ce qui est fruits ou graines est à déclarer et à jeter sous peine d’une grosse amende (et ça inclut les épluchures !).
On est resté seulement 5 jours au Chili, car on avait réservé l’avion pour changer de continents 6 mois à l’avance, sans savoir où notre périple en Amérique du Sud se terminerait. On a donc eu très peu de temps pour découvrir le pays et on s’est contenté d’explorer le Nord, autour de San Pedro de Atacama où on était malgré tout heureux de retrouver la chaleur qui nous avait manqué après tant de temps en altitude ! On garde un super souvenir de notre journée de roadtrip dans les vallées désertiques avec nos compagnons du Salar d’Uyuni.
Ce changement de continent a probablement été un des trajets les plus stressants de notre tour du monde. On avait réservé ce vol de Santiago de Chile à Singapour 6 mois à l’avance et on savait qu’il y aurait une escale à Sydney. On avait vérifié et pour moins de 8h, on n’avait besoin d’aucun visa pour un transit par l’Australie. Mais arrivés à l’aéroport, un agent nous dit que nous allons aussi faire une escale technique en Nouvelle-Zélande et que nous avons besoin d’un visa pour cette escale !
On se retrouve donc à faire un visa en ligne avec le wi-fi de l’aéroport. Celui de Vincent est accepté tout de suite mais je n’ai jamais eu le mien : après 2h d’attente et une crise de larmes au guichet, la personne responsable a bidouillé quelque chose sur l’écran pour m’annoncer que je pouvais finalement passer.
Soulagés, on monte enfin dans l’avion pour 11h de vol. Mais à l’arrivée en NZ, on nous annonce que notre vol en direction de Sydney a été annulé ! Ca risque de nous faire rater l’escale pour Singapour. Qantas nous place sur un autre vol sans nous prévenir : on le rate à quelques minutes près. On finit finalement par avoir un vol direct d’Auckland à Singapour, après avoir couru après nos sacs à dos dans tout l’aéroport. De sacrés péripéties !
Quand on a vu les prix des logements à Singapour au moment de réserver un mois avant, on s’est senti bien bête : comment une nuit en dortoir peut-elle coûter 150€ ?? La raison était simple : on ne s’était pas renseigné avant mais on est tombé au moment du Grand Prix de Formule 1 de Singapour. On a donc décidé de ne passer que 3 nuits sur place. Malgré le monde, la ville vaut vraiment le détour, pour ses immenses jardins futuristes et la richesse ses quartiers indiens, arabes ou chinois. Un beau mélange de culture, mais 3 jours nous ont suffit à en faire le tour !
On a pris l’avion à l’aéroport international de Singapour (une pépite à visiter d’ailleurs !) jusqu’à Labuan Bajo, sur l’île de Florès.
Notre cœur est resté en Indonésie : entre ses paysages et ses cultures variées, ses habitants d’une gentillesse et d’un accueil incroyables, son climat agréable et sa faune (terrestre et sous-marine) impressionnante, le pays a tout pour plaire même aux plus grincheux.
On a commencé notre voyage en Indonésie par une boucle en bus et voiture partagé dans les terres de l’île de Flores. De retour à Labuan Bajo, on a fait une croisière de 4 jours jusqu’à atteindre Lombok, où on a décidé de faire un roadtrip d’une semaine en scooter autour du volcan Rinjani.
On a ensuite pris le bateau jusqu’à la petite île de Nusa Penida où on a passé 3 jours avant de reprendre un bateau jusqu’à Bali. On ne s’est pas arrêté et on a traversé l’île jusqu’à arriver à la pointe Ouest pour prendre de nouveau un bateau vers Java. On a passé une semaine à explorer les volcans et les cascades de l’Est de Java, avant de revenir en bateau à Bali pour passer 3 semaines dans le Nord.
Notre dernière étape en Indonésie, inoubliable, était Raja Ampat. C’est un petit budget par rapport au reste du pays mais on a passé nos journées la tête sous l’eau, à découvrir des fonds marins d’une richesse exceptionnelle, encore totalement préservés.
On a pris l’avion depuis Sorong (Raja Ampat, Indonésie) jusqu’à Cairns, avec une escale à Denpasar puis à Sydney.
Il y a une chose qu’on voulait absolument tester pendant ce tour du monde : la vanlife ! Et quoi de mieux que l’Australie, avec ses nombreux freecamps, pour s’y mettre ? Malgré toutes nos galères avec notre vieux van loué sur place (plus de 600.000km quand même), on a beaucoup aimé l’Australie, qu’on n’imaginait pas aussi variée. Du climat tropical au Nord et ses immenses forêts jusqu’aux plages du Sud en passant par les grandes villes de la côte comme Brisbane ou Sydney, on a beaucoup aimé l’ambiance chill de la vie à l’australienne.
Pour passer de l’Australie à la Thaïlande, on a pris un vol direct de Sydney à Bangkok.
Retour en Asie pour les 3 derniers mois de ce tour du monde ! On a décidé de ralentir le rythme. On passe donc plus d’un mois à découvrir la Thaïlande du Nord au Sud. Les parents de Vincent nous ont même rejoint pour découvrir une partie du Nord avec nous ! Si on a trouvé le pays très (trop) touristique et la vibe du Sud un poil trop festive à notre goût, on a beaucoup aimé les étapes culturelles du Nord et la découverte des éléphants dans un endroit éthique. On a même pû vivre le nouvel an lunaire à Chiang Mai et c’était exceptionnel !
La majorité des gens qui passent la frontière Thaïlande > Laos par le Nord prennent les « slowboats » sur 2 jours, qui voguent sur le Mékong avec une escale d’une nuit au milieu. Comme on voulait éviter d’être entassés avec 300 touristes dans ces bateaux, on a décidé de réserver un bus « VIP » sur 12go… et ça s’est avéré être le pire trajet de notre existence.
Après s’être fait emmener en navette jusqu’à la frontière où on a rempli tous les formulaires nécessaires, payé 45€ et attendu 1h notre passeport pour obtenir le visa laotien, on nous a demandé de nous dépêcher car notre bus s’apprête à partir. On s’est alors retrouvés entassés à 19 dans un bus de 15 places et avec un chauffeur qui refusait de communiquer avec nous malgré nos tentatives de traduction… pendant plus de 10h.
Les routes du Laos étant dans un état très moyen, le trajet a été bien plus long que prévu. Finalement, notre chauffeur a fini par nous déposer, avec nos sacs à dos, sur une espèce d’aire au milieu de la pampa sans rien nous expliquer. Puis un bus public est arrivé et il nous l’a indiqué du doigt avant de repartir sans rien dire. On a dû subir encore 5h de trajet chaotique dans ce nouveau bus avant d’arriver au terminal de Luang Prabang, où il a encore fallut prendre un tuk-tuk jusqu’au centre-ville. Une journée épuisante qui ne nous a pas donné un très bon premier aperçu du Laos !
On n’a malheureusement pas eu de cœur pour le Laos qu’on imaginait en fait beaucoup moins touristique. On avait probablement trop d’attentes par rapport à ce qu’on nous avait dit et on a trouvé la destination bien moins authentique que ce qu’on nous avait fait penser. Heureusement, le Sud du Laos et ses boucles à scooters ont rattrapé la mauvaise impression que nous avait laissé le Nord, ses infrastructures insuffisantes par rapport au nombre de touristes et son nouveau train.
Par manque de temps et pour pouvoir profiter à fond de notre dernier pays, on a décidé de ne pas visiter le Cambodge pour se rendre directement au Vietnam.
Pour ça, on a réservé un bus dans une agence à Paksé (Laos) pour aller jusqu’à Da Nang (Vietnam). Après un départ vers 7h, on est arrivés à la frontière à 11h et le passage a été relativement rapide car il n’y a pas de visa nécessaire pour entrer au Vietnam pour un séjour de moins de 45 jours. Arrivés à Da Nang en milieu d’après-midi, on a pris un Grab jusqu’à Hoi An.
On a fait le choix d’explorer uniquement le Nord du Vietnam pendant un peu plus d’un mois et ça a été une super décision ! Il y a tellement de belles choses à découvrir dans le Nord qu’une semaine supplémentaire n’aurait pas été de trop. On a vécu au Vietnam une de nos meilleures expériences : un roadtrip à moto puis en voiture à travers les régions d’Ha Giang puis de Cao Bang, des endroits encore peu touristiques plein de pépites à explorer. On a aussi adoré notre trek au milieu des rizières et la découverte de la capitale fourmillante du Vietnam, Hanoi.
Après une escale à Pékin, on a finalement atterri à Paris et retrouvé la France, l’humeur maussade des parisiens dans le RER et le goût délicieux des jambon-beurres.
Si c’était à refaire, on visiterait probablement moins de destinations. On prendrait plus notre temps en Amérique du Sud, comme on l’a fait en Asie où on a décidé de ne pas aller au Cambodge pour avoir plus de temps dans les autres pays. Notamment pour découvrir l’Equateur mais aussi le Mexique dans lequel on a visité qu’une toute petite partie (et la plus touristique) et la Bolivie et le Chili, qu’on a adoré sans avoir pu explorer à fond.
Les articles détaillés de nos itinéraires dans chacun de ces pays arriveront très vite et on mettra à jour cette page au fur et à mesure. En attendant, n’hésitez pas à nous faire savoir quel article vous intéresserait le plus !
Prochain article à être mis en ligne : itinéraire de 25 jours au Pérou.